Une position qui est une position qui en est une autre

Ce livre composé de six parties questionne de différentes manières       

l’amorce de la pensée : Comment la pensée se construit-elle ?

Comment reconstruire son cheminement ? Comment la création s’enclenche-t-elle ? Qu’est-ce qui l’active, la réactive ? Quelle(s)position(s) prendre pour produire, pour écrire ? Une position qui est une position qui en est une autre propose comme point de départ cet énoncé : Raconter une position, c’est un peu la trouver. Et ce, avec

un esprit vif tout en questionnement et ritournelles, avec humour,distance et dérision.

En questionnant l’amorce de la pensée, ce livre s’attaque à la face nord de la langue, sans chercher à résoudre, ni à simplifier. Par le 

biais d’anti-scènes notamment, ce texte restitue des rêves, des scènes

issues de l’inconscient, là où la langue nous échappe complètement.

Se mêlent à la fois la gravité (état sauvage) des actes et une certaine

légèreté due à leur répercussion dans la langue qui les réordonnance.

 

 

14 euros

 


 

Narrer (la circonstance) ce qui déclenche (impact) pied à pied,

c’est un frétillement (oubli, déjà) et on balance explications, justifications,

nos panneaux d’affichage (offensive), un territoire,

croisé, venu (à (la) vue (de)), bien plaqué.

 

Descendre, tenir à ras, recommencer, monter, toucher l’angle,

prendre appui, rebondir, se suspendre, tourner, raccrocher la

paroi, retomber, grimper, bouger, reculer, s’agripper, continuer.

Masse musculaire du protocole.